dimanche 29 mars 2009
samedi 28 mars 2009
vendredi 27 mars 2009
PJ Harvey & John Parish
lundi 23 mars 2009
Crystals Stilts
Même si ces charmants Crystals Stilts semblent avoir légèrement abusé du Velvet Underground de "VU", on ne peut que leur reconnaître un talent évident, comme en témoigne "Alight Of Night" paru fin 2008 aux USA, et seulement ces jours-ci sous nos latitudes.
dimanche 22 mars 2009
samedi 21 mars 2009
mardi 17 mars 2009
Era of Nothing
Je ne sais pas, je n'ai envie de rien, je crois que je voudrais juste écouter un bon disque de pop, de rock voire d'indie pop/indie rock, un truc presque anecdotique, je voudrais remonter le temps, quand c'était tout simple d'écouter ça
et à la fois si compliqué à partager... Si si, je vous jure... En province, en 1995, vous écoutez Elastica et vous êtes estampillé alien... Une histoire vraie !
Aujourd'hui, en deux clics, on retrouve sa communauté culturelle virtuelle et on se sent intouchable, mais le prix à payer pour l'illusion de la puissance c'est la disparition de la magie. Alors je résiste encore aux aspects hautement régressifs de ce totalitarisme, histoire de ramener un peu de fascination.
A la fois, c'est pas grave tout ça, il y a le mauvais disque de Peter Doherty qui ressasse douze fois la même chanson, et les teenagers en redemandent parce que c'est trop beau la vision d'un junkie au travail, tentant de raviver deux neurones ou de réactiver sa mémoire d'un temps où la pop était glorieuse.
et à la fois si compliqué à partager... Si si, je vous jure... En province, en 1995, vous écoutez Elastica et vous êtes estampillé alien... Une histoire vraie !
Aujourd'hui, en deux clics, on retrouve sa communauté culturelle virtuelle et on se sent intouchable, mais le prix à payer pour l'illusion de la puissance c'est la disparition de la magie. Alors je résiste encore aux aspects hautement régressifs de ce totalitarisme, histoire de ramener un peu de fascination.
A la fois, c'est pas grave tout ça, il y a le mauvais disque de Peter Doherty qui ressasse douze fois la même chanson, et les teenagers en redemandent parce que c'est trop beau la vision d'un junkie au travail, tentant de raviver deux neurones ou de réactiver sa mémoire d'un temps où la pop était glorieuse.
samedi 14 mars 2009
vendredi 6 mars 2009
jeudi 5 mars 2009
Sunn O))) in The WIRE magazine
Le groupe Sunn O))) sera en couverture du numéro d'avril du magazine musical anglais The Wire (à paraître la semaine prochaine). Voilà qui devrait me réconcilier un peu avec cette revue qui me fascinait dans les années 90 et au début des années 2000. Ces derniers temps, celle-ci s'est avérée plus inégale que jamais dans ses choix éditoriaux, ses opinions, et plutôt contradictoires dans sa perpétuelle recherche des musiques extrêmes qui, jadis, fut souvent perçue par ses détracteurs comme de l'hermétisme incongru.
Dernièrement, je ne me suis que trop rarement retrouvé dans les pages de cette belle revue. Entre des couvertures dédiées à un Richie Hawtin qui n'a plus rien à dire mais tout à vendre (y compris des concepts fumeux) et un Antony Hegarty (Antony & The Johnsons) que je considère toujours comme étant un des pires fléaux survenus dans la musique depuis l'imposture Devendra Banhart, je me suis pas mal interrogé...
Parfois, quelques réjouissances tout de même: une page sur les très méritants gamins de Emeralds, un article sur le label Sub Rosa, une couverture et des photos sublimes avec Wolfgang Voigt (Gas). L'achat se justifie toujours donc mais ce serait vraiment formidable si certains systématismes disparaissaient. Je pense notamment au fait d'élire "Album de l'année" chaque nouvel album publié par Robert Wyatt et ce depuis 1997. Ou encore d'inclure dans ses "winners" de l'année d'aussi mauvais et anecdotiques artistes que M.I.A, sans doute au nom d'une ouverture pop et multiculturaliste à la bien-pensance mal dissimulée.
En 2008, la liste des meilleurs disques de l'année s'est avérée plus pointue mais, fait incompréhensible, le lp couronné "number 1" fut celui de The Bug "London Zoo", un album auquel mes tympans sont définitivement allergiques, un disque dénué d'inspiration et incapable de supporter la comparaison avec la plus mineure production signée Techno Animal. Là encore, il faudrait m'expliquer... Tout comme cette couverture avec Will Oldham (Bonnie 'Prince' Billy) après tant d'années, à l'occasion d'un nouvel opus que je qualifierais de décevant, et alors que W.O a écrit au cours des quinze dernières années quelques-uns des plus beaux chapitres de la musique américaine. Un brin janséniste The Wire ?
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