Pour rester dans le domaine aquatique/océanique (mais plus certainement climatique) et en écho au récent commentaire de Kaspar, voici
un lien pour découvrir Clear Horizon (Dave Pearce + Jessica Bailiff), beauté immaculée totalement passée aux oubliettes. Je joins la chronique que j'avais écrite en 2003 pour
Octopus, le supplément musiques de la revue
Mouvement.

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