vendredi 20 août 2010

To love is to lose and to lose is to die


7 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est quoi la serpillière qu'il a accrochée à son bob ? Quel déconneur ce Douglas Pearce !!!

jef a dit…

Oui, c'est limite comme esthétique ! Mais j'ai bien pire comme anecdotes le concernant... Haha !!!

Anonyme a dit…

Lâche le morceau maintenant !

sittin'pretty a dit…

Je ne connaissais DIJ que de nom. Quelques recherches plus loin, deux choses à dire :
- Fall Apart est un morceau magnifique, plus encore dans sa version studio ;
- l'univers esthétique de Pearce et ses accointances idéologiques sont à gerber.

Anonyme a dit…

oh ! nan ! Ludo, tu vas pas nous ressortir ce bon vieux débat, totalement vain, sur l'esthétique et la prétendue idéologie de DIJ !

sittin'pretty a dit…

Je me suis bien documenté, la question est sans fin (et c'est voulu par ce type de personnage). Mais je ne pense pas que le débat soit aussi vain que tu le dis ; l'ambiguïté ça va bien 5 minutes et, pour moi, l'utilisation de symboles nazis est juste inacceptable, pour quelques raisons que ce soit ("Nous nous servons d'artifices nazis parce que c'est une image qui contient une grande force de communication." Bein tient !). Pearce est peut-être un brave type, cultivé, compositeur doué et tout et tout ; c'est aussi un malade morbide qui a toujours joué avec le feu (et la glace, hahaha). Et je ne parle pas de son pote Boyd Rice, qui n'en peut plus de se branler devant sa propre image de brute dégénérée !
Ces types ne me font pas rigoler, ils ne me font pas réfléchir, je n'ai aucune compassion pour eux, je ne leur trouve aucune excuse ; ça tombe bien, ils n'en cherchent pas ; par contre ils sont généralement d'une hypocrisie confondante, sachant qu'assumer totalement leurs idées moisies les condamnerait à une franche marginalité.
Vraiment les gars, l'art n'excuse pas tout. Il n'en demeure pas moins que Fall Apart - et certainement d'autres morceaux de DIJ - reste un morceau ... fascinant :-)
Pour finir, quand même et parce qu'il est bon de rire parfois :
http://www.topiste.com/JLA/JLA_chante_DI6.php

fred a dit…

Ah, c'est bien cette animation soudaine sur ce blog... Fallait bien un Douglas Pearce pour en arriver là !
Je peux pas vraiment évoquer les fameuses anecdotes sur Pearce ici, certaines personnes pourraient me le reprocher... Attendons de nous rencontrer un jour prochain Crocnique... Tout ce que je peux dire c'est que Ludo est en droit de pointer les accointances idéologiques à gerber de DP. Moi, je me suis toujours plus concentré sur les morceaux (découverts tardivement, après ceux de Current 93 et de Coil) que sur le reste de la triste légende... Mais hors de son contexte, hors de la "pose", il paraît que le monsieur peut s'avérer étonnant voire attachant... Un bon et grand vivant, trash et vraiment très (trop?) limite, mais vivant ! Un très très gros déconneur, tu as bien raison de le signaler Crocnique !

Et puis quelle classe ce Jean-Luc ASZCEK ! Haha !