Depuis plus de 6 mois maintenant, il ne se passe pas une semaine sans que j'écoute la discographie complète de The Pastels et en particulier leur chef d'oeuvre de pop naufragée, "Mobile Safari", qui m'obsède totalement !
dimanche 28 septembre 2008
samedi 27 septembre 2008
mercredi 24 septembre 2008
Please more F F !
Aujourd'hui j'ai écouté un très mauvais disque, je ne sais toujours pas pourquoi je l'ai écouté d'ailleurs... Ah si, peut être pour pouvoir en dire du mal... Car je déteste tous les albums de Tv On The Radio, groupe insupportable, tant par sa musique et les mines constipées de ses membres, que la bien-pensance politisée (anti-Bush bien évidemment, quelle originalité, non ?) que celui-ci trimballe. Une fois de plus la presse internationale bobo (de Pitchfork aux Inrocks) est dythirambique alors que cet album éreintant atteint un certain paroxysme dans le registre de la daube. Avec TOTR, c'est le retour de l'adult-rock teinté d'intellectualisme (?) chiantissime et de références underground mal digérées, le tout réhaussé d'une voix ambivalente aux accents funky à laquelle je décerne (ex-aequo avec Antony Hegarty) le prix de "voix la plus irritante de la planète". A éviter absolument !
Heureusement, pour me laver les tympans à grandes eaux , je me suis instillé ce sublime classique de pop post-punk que j'avais découvert en 2005 (de nombreux mois après sa sortie; merci Seasile !). Tout est parfait chez Franz Ferdinand : leurs looks, leurs pochettes, et le plus génial : le nom de leur groupe ! Voilà des jeunes gens de Glasgow, humbles d'après ce qu'on m'a dit, ne ménageant pas leurs efforts sur scène, et dont ce premier essai est un véritable écrin rempli de tubes jubilatoires. Je classe cet opus juste à côté du premier Interpol ainsi que du premier The Strokes (qui leur est peut être un peu inférieur, notamment à cause de sa - parfois - trop grande homogénéité (!) et du systématique grain de voix filtré de Julian Casablancas).
Heureusement, pour me laver les tympans à grandes eaux , je me suis instillé ce sublime classique de pop post-punk que j'avais découvert en 2005 (de nombreux mois après sa sortie; merci Seasile !). Tout est parfait chez Franz Ferdinand : leurs looks, leurs pochettes, et le plus génial : le nom de leur groupe ! Voilà des jeunes gens de Glasgow, humbles d'après ce qu'on m'a dit, ne ménageant pas leurs efforts sur scène, et dont ce premier essai est un véritable écrin rempli de tubes jubilatoires. Je classe cet opus juste à côté du premier Interpol ainsi que du premier The Strokes (qui leur est peut être un peu inférieur, notamment à cause de sa - parfois - trop grande homogénéité (!) et du systématique grain de voix filtré de Julian Casablancas).
mardi 16 septembre 2008
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